top of page

LE PROCESSUS

 FONDATEUR : NICOLE SICARD

Parlons "Santé"

Notre meilleur médecin, c'est nous-même

En nous sommeillent d'immenses capacités qui sont tout particulièrement invitées à se mobiliser lorsque survient un déséquilibre de santé.

Encore faut-il que nous puissions regarder ce qui se passe, voir ce qui nous a amené à cette situation, appréhender tranquillement le champ de nos ressources puis mobiliser les outils choisis comme étant les plus appropriés, à la fois à qui nous sommes et à notre situation.

​

Si l'on met de côté les accidents corporels qui peut-être font appel à un autre processus, une difficulté de santé au plan physique est une manifestation perceptible d'un déséquilibre à d'autres niveaux, émotionnel, mental, énergétique, spirituel...

Imaginons une personne contrainte de faire un acte contraire à ses valeurs, et qui cherche à en occulter l'impact de façon purement mentale, bloque le système de régulation émotionnelle. Le corps n'aura pas le choix, que celui d'exprimer ce qui a été bloqué en amont.   

 

Au sujet de la consultation médicale

​

Lorsque nous faisons appel à un médecin, nous engageons notre responsabilité, aux côtés de celles du praticien. Cela est encore plus précis depuis la loi du 4 mars 2002 relative aux droits des malades et à la qualité des systèmes de santé, et notamment l'article L. 1111-4 :

 

"Toute personne prend, avec le professionnel de santé et compte tenu des informations et des préconisations qu’il lui fournit, les décisions concernant sa santé".  

 

 

En aucun cas, le médecin n'est dégagé de sa propre responsabilité. Il lui incombe d'informer son "patient" et de pouvoir prouver qu'il lui a donné toutes les indications utiles  (Art. L. 1111-2. - Toute personne a le droit d’être informée sur son état de santé...)

​

Ce n'est pas pour autant que la personne doive se passer de l'avis d'un médecin, pour l'aider à faire des choix. C'est l'origine du mot "consultation" = demander conseil.

 

Le consultant peut aider le médecin afin qu'il ait plus d'éléments qui lui permettent de proposer une synthèse, des pistes, des orientations.

​

La "maladie" (l'ensemble des signes réunis en un concept qui porte un nom, le "diagnostic") n'est qu'un des éléments du "jeu". Un acteur central, certes, mais ne considérer que les symptômes ou la considérer isolément serait comme ajouter avec obstination de l'eau dans un seau troué.

​

Il nous faudra prendre du recul, positionner le décor et les acteurs. 

La "maladie" : ce qu'on en sait ou ne sait pas, comment elle s'exprime chez cette personne en particulier, facteurs de risque, potentiel évolutif,  

La personne : mémoires, hérédité, histoire de vie, évènements de santé, survenue de "barrages", historique de la maladie, conséquences... terrain physiologique, psychologique, mental... parcours spirituel... 

L'environnement : atouts ou pollutions de tout ordre (air, eau, aliments, champs électromagnétiques naturels et artificiels...) 

Les interactions avec ces "personnages" : image sociale de la maladie, relations avec les thérapeutes, responsabilités sociales, etc.

 

Et, quand nous en sommes là, nous n'avons abordé que la partie la plus "visible" de l'histoire. Il nous reste à naviguer vers l'inconnu de notre êtreté... 

INSPIRATION... Eckhart TOLLE

L'art du calme intérieur

Tout ce que vous acceptez entièrement vous mène à la paix, même l'impossibilité d'accepter, même la résistance.

​" Laissons la Vie Etre " 

⬆︎ HAUT DE PAGE ⬆︎ 

bottom of page